Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 1 an
Le fourgon cellulaire entre dans le pénitencier de Las Diques. Juanita Sanchez en descend, encadrée de deux policières. La chaleur est écrasante en ce mois de juillet. L’accueil est pénible: Sermon de la gardienne en chef, fouille au corps...Juanita reçoit sa tenue de détenue: short et tee-shirt gris. C’est pas du tout sexy mais, après tout, on est pas à la plage...
Juanita est maintenant emmenée jusqu’à sa cellule par une gardienne plutôt sympa. Celle-ci lui demande:
-Tu plonges pour quoi?
-J’ai été accusée de meurtre...
-T’en a pris pour combien?
-30 ans.
-Eh ben! Bon si tu as une bonne conduite, tu auras peut-être des remises de peine.
-J’y compte bien...
-Mais attention, ici c’est v i o l ent. Ne réponds jamais aux provocations!
-J’ai bien l’intention de me tenir à carreau, ne vous inquiétez pas!
-Voilà c’est ici, cellule 124.
Elle ouvre la porte.
-Voilà ta codétenue: Mary. Mary, voilà Juanita qui vient d’arriver...
La porte se referme.
-Enchantée Juanita...
-Moi de même Mary.
Mary est une jeune femme blonde avec un charmant visage un peu poupin.
-Tu as juste le temps de t’installer, ça va être l’heure de la promenade.
Dans la cour du pénitencier, la chaleur est torride. Il y a juste un coin d’ombre occupé par trois détenues. Mary explique à Juanita:
-Tu vois les trois là-bas? La blonde c’est Birgit, c’est la patronne ici. Elle fait régner la terreur ici. Cassia, la black et Véra, la petite brune sont ses lieutenantes. Quiconque s’opposant à l’une des trois se fait démolir sévèrement...
-Et les gardiennes n’interviennent pas?
-Elles encouragent au contraire. Birgit a des moyens et arrose copieusement les gardiennes.
Cassia dit à Birgit:
-Tu as vu? il y a une nouvelle.
-Ouais! On va lui souhaiter la bienvenue...
Birgit, entourée de ses deux lieutenantes, s’avance vers Juanita et Mary.
-Bonjour la nouvelle!
-Je m’appelle Juanita...
-Moi c’est Birgit et voici Cassia et Véra.
-Enchantée!
-Je ne sais pas si on t’a déjà dit mais c’est moi la patronne ici...
-Vraiment? Je suis très impressionnée répond la latino avec un sourire ironique.
Les deux femmes se regardent dans les yeux. La sirène annonce la fin de la promenade. Cassia glisse à sa cheffe:
-Elle ne me dit rien qui vaille, elle a l’air rétive!
-Bah! elle se pliera comme les autres...
-Mouais...Faudra la mettre au pas rapidement!
La nuit est presque tombée mais la chaleur est toujours accablante. Mary dit à Juanita:
-J’ai l’habitude de dormir à poil, ça ne te dérange pas?
-Du tout! J’ai bien l’intention d’en faire autant...
Les deux détenues se dévêtent. Juanita arbore un corps mince et musclé avec des formes bien rebondies. Mary est bien foutue aussi même si ses seins sont un peu moins volumineux que ceux de la latino.
-Putain t’es bien foutue! s’exclame la jeune blonde.
-Merci, t’es pas mal non plus...
Toutes les deux se couchent. Les deux paillasses se font face. Mary regarde sa codétenue allongée sur le dos.
-Dis Juanita, tu es homo?
-Non hétéro...Pourquoi?
-Dommage, j’avais une petite envie...Bonne nuit!
Juanita a elle même très envie de sexe. Elle a passé quelques mois en préventive, seule dans sa cellule. La masturbation ça soulage mais ça ne suffit pas...
-Mary?
-Oui?
-Je préfère la bite mais, quand l’occasion se présente, je ne dédaigne pas une bonne craquette...
-C’est vrai?
-Ben ouais! Allez viens!
Toute excitée, la belle blonde rejoint Juanita dans sa couche. Elle se love contre elle, colle sa bouche contre celle de Juanita. Les langues se mêlent, les mains partent à la découverte des seins de la partenaire, de sa chatte, de ses fesses.
Bientôt, elles se placent tête bêche pour un 69 torride. Les langues fouillent les chattes et les anus. La cyprine coule abondamment et les deux femmes ne tardent pas à jouir...
Elles reprennent leurs esprits, collées l’une à l’autre, se faisant des petits bisous. Juanita demande:
-Tu en as pour longtemps toi?
-J’ai pris un an pour trafic de D r o g u e , il me reste trois mois à tirer...Et toi?
-30 ans. J’ai été accusée de meurtre. Ca me ferait sortir à 55 ans!
-m e r d e !
-En plus, je suis innocente...
-Ah bon?
-Je vais te raconter...
Juanita commence son récit. Quatre ans plus tôt, elle est tombée amoureuse d’un homme marié. Lui même tomba sous le charme de la belle brune. Après quelques semaines d’adultère, l’homme décida de se séparer de sa femme. Hélas, celle-ci refusa le divorce, empêchant Juanita d’épouser son homme.
Un jour, Juanita décida d’aller voir l’ex de son homme, espérant la convaincre. Elle fut accueillie par des insultes. Les deux femmes finirent par se battre. Juanita eut vite le dessus, coinçant sa rivale sous elle. A ce moment, elle reçut un v i o l ent coup sur le crâne tombant évanouie.
Un peu après, elle fut réveillée par des sirènes de police. Avec horreur, elle constata qu’elle avait dans la main un couteau couvert de s a n g . Devant elle, gisait le cadavre de l’ex. Tétanisée par la scène, elle ne réagit pas. Déjà les policiers envahissaient la pièce et la neutralisaient sans ménagement.
-J’étais la coupable idéale: le couteau à la main, un mobile en or (mon homme a une situation plus que confortable et mon intérêt était de l’épouser). Ajouté à cela que je suis hispano et issue d’un quartier pauvre, mon sort était joué...
-Ma pauvre chérie...Allons, je suis sure que ton innocence finira par être reconnue!
-Tu es gentille ma belle mais je n’y crois pas. Certes mon homme fait tout ce qu’il peut pour que le dossier soit réouvert mais qui voudrait réhabiliter une pauvre latino avec un passé de petite délinquante?
Les larmes coulent doucement sur son visage. Apitoyée, Mary l’embrasse tendrement. Cela réveille le désir chez les deux femmes...
Elles s’installent sur le lit, chatte contre chatte pour une séance de tribadisme...
6h00 du matin. C’est l’heure du réveil au pénitencier. Les deux femmes se sont endormies dans les bras l’une de l’autre, épuisées par les différents orgasmes. Elles s’habillent. Juanita dit:
-Tu sais Mary, je ne me marierais pas avec toi, comme je te l’ai dit, je suis hétéro. Mais, tant qu’on est ensemble, c’est quand tu veux, tu fais très bien l’amour...
-Merci ma belle, toi aussi tu baises bien!
C’est le jour de la douche pour toutes les détenues. Elles se dévêtent dans le vestiaire puis direction l’immense local de douche. Juanita est à côté de Mary. Non loin de là, se trouvent Birgitt et ses deux garde du corps. Cassia regarde Juanita. Elle dit à Birgit:
-Décidemment, elle me revient pas la latino. Elle a l’air bien sure d’elle. Il faut la casser tout de suite...
-Rien ne presse...Attendons le premier faux pas!
-J’ai bien envie de la provoquer un peu pour voir ce qu’elle a dans le ventre...
-Comme tu veux mais méfie toi quand même...
-Tu me connais!
-Moui...
A vrai dire, Birgit se méfie de la nouvelle. Elle a l’air assez musclée et puis surtout, elle a une lueur inquiétante dans le regard. Aussi elle n’est pas fâchée que sa lieutenante tâte le terrain.
La black se rapproche de Juanita et entame la conversation:
-T’es bien foutue dis donc!
-Merci!
-Méfie-toi, tu es en cellule avec Mary, elle pourrait bien te v i o l er la gouine!
Juanita regarde son interlocutrice d’un air méprisant. Cassia insiste:
-Oh mais si ça se trouve, tu aimes bien le gigot à l’ail aussi? Ben oui c’est ça! Elle répond pas! Putain, ça va mouiller au 124!
Le visage fermé, Juanita se campe devant Cassia et lui dit:
-Ecoute tu te mêles de tes fesses et tout ira bien d’accord?
-Oh vous entendez ça les filles? Je la complimente, je m’intéresse à elle et voilà comment elle me répond!
Poussant brusquement Juanita contre le mur, elle porte la main à son cou comme pour l’étrangler et crie:
-On me parle pas comme ça tu entends l’hispano? Tu vas t’excuser tout de sui... Ouch!
Elle se recule, pliée en deux, se massant l’abdomen: Juanita vient de lui envoyer un v i o l ent coup de genou dans le ventre!
-Je suis pas du genre à chercher noise mais faut pas m’emm e r d e r!
La black serre les poings, furieuse.
-Putain t’aurais pas dû salope! Je vais te massacrer!
Juanita serre les poings aussi.
-Ben viens je t’attends!
Les détenues se mettent en cercle autour des deux rivales pour observer la bagarre. Cassia cogne Juanita à la mâchoire mais celle-ci encaisse bien et réplique. Le pugilat s’engage et les deux adversaires ne retiennent pas leurs coups. Le sol étant glissant, elles se retrouvent rapidement au sol et continuent à se foutre sur la gueule au sol. Cassia est plus puissante mais la latino sait se battre. Elle finit par prendre le dessus...
Installée sur le ventre de la black elle continue à la cogner jusqu’à ce que son adversaire ne réplique plus. Satisfaite elle se relève, estimant avoir donné une bonne leçon à Cassia.
-Que se passe-t-il ici?
Plusieurs gardiennes viennent de rentrer dans la douche, armées de matraques. Avant que Juanita n’ouvre la bouche pour s’expliquer, Birgit répond:
-C’est elle la nouvelle là! Elle s’est ruée sur Cassia comme une sauvage!
Véra, son autre lieutenante surenchérit:
-Oui c’est vrai, cette fille est dangereuse. On a le droit à la sécurité, on est pas là pour se faire agresser! Il faut mettre cette brute hors d’état de nuire!
Mary s’apprête à intervenir pour défendre son amie mais Véra lui glisse à l’oreille:
-Si tu parles la gouine, on va te pourrir la vie!
La jeune blonde se tait, honteuse...La gardienne en chef tranche:
-Bon au cachot la nouvelle, emmenez là! Huit jours au trou, ça va la calmer!
Deux gardiennes emmènent Juanita. En passant devant Birgit, elle la fixe dans les yeux. Celle-ci ricane doucement...
-Bon finie la récréation, allez vous rhabiller les filles! ordonne la gardienne en chef.
La porte du cachot se referme sur Juanita. Elle s’écroule sur le grabat, désespérée. Elle qui désirait obtenir des réductions de peine pour bonne conduite, ça commence mal. Mais elle a été élevée à l’école de la rue, elle a été habituée à ne pas se laisser faire. A peine a d o l e s c e n t e, elle faisait déjà le coup de poing avec brio et elle était respectée dans son quartier...
Dans ce trou sordide, les heures passent lentement, ça fait seulement deux jours, encore six! Soudain, elle entend l’ouverture du verrou. Une gardienne apparaît dans l’encadrement de la porte.
-Juanita Sanchez, tu me suis, tu es convoquée chez la directrice!
Juanita suit la gardienne, se demandant ce que la directrice peut bien lui vouloir...
La gardienne toque à la porte directoriale.
-Entrez!
-Voilà la détenue Madame...
-Bien, laissez nous...
La directrice est une quinquagénaire rousse, bien conservée. Habillée élégamment, elle porte beau. Une fois la gardienne sortie, elle s’adresse à la prisonnière:
-Juanita Sanchez hein?
-Tout à fait Madame!
-Je suis Anny Mac Dowell, la directrice de ce pénitencier.
-...
-Alors, on a le coup de poing facile?
-Non mais si on m’agresse, je me défends Madame!
-Effectivement, j’ai regardé les images de vidéo surveillance. Cette brute de Cassia n’a pas pu s’empêcher de te provoquer...
-Oui mais vos gardiennes n’ont pas voulu m’entendre...
-C’est à dire que le témoignage de Birgit...Sa parole a un poids ici!
-On se demande pourquoi!
-Mhh forte tête hein? Mais j’aime ça! Je vais t’expliquer...
-Je vous écoute!
-Pour maintenir un certain ordre social, des filles comme Birgit sont bien commodes.
-Mouais! Pas très moral tout ça...Mais pourquoi m’avez vous convoquée alors?
-Eh bien il est en mon pouvoir de réduire ta peine...
Elle s’interrompt pour sortir une bouteille de champagne du frigo. Elle prend deux flutes dans un petit placard.
-Tu as soif peut-être?
Juanita est étonnée. Anny a un regard charmeur. Elle détaille le corps de la détenue avec intérêt. Elle sert le champagne et va fermer le verrou de la porte. Juanita commence à comprendre...Anny lui tend une flute et lève la sienne pour un toast muet. Juanita apprécie le liquide frais qui coule dans son gosier. La directrice passe derrière elle et lui murmure à l’oreille:
-Je peux réduire ta peine de cachot mais il faut le mériter...
Il est clair que la directrice exerce un chantage sexuel. Néanmoins, Juanita y voit l’occasion d’échapper au cachot. Et puis, ce n’est pas vraiment un sacrifice. Anny, malgré ses cinquante ans est une femme plutôt gironde et, après deux jours d’abstinence, la belle brune a besoin de sexe. Elle demande, mutine:
-Vous offrez du champagne à toutes vos détenues Madame la Directrice?
-Non, bien sûr! Mais j’ai pu admirer ton corps sur les images de vidéo-surveillance...
-Et vous aimeriez bien voir ce corps en vrai c’est ça?
-Tu as tout compris!
Alors Juanita se livre à un petit strip-tease...La voilà maintenant entièrement nue, posant fièrement les mains sur les hanches. Anny s’approche et frôle les tétons érigés.
-Somptueux! murmure-t-elle
-Contente que ça vous plaise Madame...
-Quand on est qu’à deux, tu peux me tutoyer. Et puis...j’aime bien les mots crus...les insultes...
-Ah oui? Eh bien déshabille-toi salope!
La directrice enlève sa robe. Dessous elle ne porte qu’un porte-jarretelles et des bas. Elle possède vraiment un joli corps avec de belles rondeurs. Sa toison rousse est bien entretenue.
-Mais t’es vraiment une pute toi! T’as envie de baiser hein?
-Ouais, je veux du cul!
Juanita s’approche et lui roule une pelle. Les deux femmes se pelotent mutuellement. Quand les bouches se séparent, Juanita dit:
-Assieds toi, je vais m’occuper de ta foufoune!
Anny s’assied sur le canapé les jambes écartées, passant sa langue sur ses lèvres, très salope! Juanita s’agenouille devant elle et lui doigte la chatte en lui massant les nibards.
-Mhh voilà un abricot bien juteux dis donc! Je vais le goûter...
La langue s’active sur le clito puis fouille la chatte humide. Son index caresse le trou du cul.
-Oh oui putain! Bouffe moi bien la chatte petite garce!
Juanita s’applique. Sa langue lèche maintenant l’œillet puis le pénètre.
-Aaah! Tu vas me faire jouir salope! Oh ouiii! Oooooh! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!
Juanita boit le jus de sa partenaire.
-Mhh t’es une vraie fontaine toi!
-Ouais! Toujours quand on s’occupe bien de mon minou...
Juanita s’allonge sur la moquette en écartant les jambes et invite de la main la directrice. Les deux femmes entament un 69 torride. La rousse sait y faire aussi et Juanita prend son pied à son tour.
-Aaaaaah! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!
Ensuite, pendant de longues minutes, les deux femmes se livrent à une séance de tribadisme. Les clitos et les lèvres intimes se frottent sensuellement. Elles jouissent de nouveau en même temps...
Elles se relèvent, chancelantes. Juanita se dit qu’elle a donné satisfaction.
-Alors t’es satisfaite Madame la directrice?
-Oui mais ce n’était qu’un hors d’œuvre!
Elle ouvre un tiroir de son bureau et en sort un gode-ceinture de bonne taille.
-Je suis bisexuelle, j’aime bien la bite aussi! Tu vas faire l’homme, tu veux bien?
-Bien volontiers! Si t’aimes bien la bite, tu vas être servie!
Elle attache l’engin à sa taille. Elle empoigne le faux pénis et s’écrie:
-Allez suce moi salope! Suce ma queue!
Anny s’agenouille et engloutit le gode comme si c’était une vraie pine. Juanita donne des petits coups de reins.
-Mhh tu pompes bien petite pute! Allez, ça suffit, je vais t’enfiler maintenant!
Anny se met à quatre pattes et Juanita la prend par la chatte. Elle donne des coups de reins vigoureux. Simultanément, elle doigte le cul de sa partenaire.
-Mhh t’aimes bien te faire défoncer le fion aussi hein?
-Ouais salope! Encule-moi!!
-Avec plaisir!
Elle sort le gode de la chatte. Il est trempé de cyprine et s’enfonce facilement dans l’anus.
-Oh oui putain défonce-moi!!
-Tiens! tiens! tiens! Tu la sens bien ma grosse pine?
-Oui! oui! oui! c’est bon!!!
Juanita accélère encore et la directrice grimpe aux rideaux:
-Oui! oui! oui! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!! Oh putain tu m’as tuée salope!
-Ben je vois ça! A ton tour de faire l’homme!
Changement de rôle. Anny baise la détenue avec autorité par les deux orifices aboutissant à un nouvel orgasme de la belle brune.
Les deux femmes se rhabillent. Anny signe la sortie de cachot de Juanita. Celle-ci demande:
-Vous vous "entretenez" comme ça avec toutes les prisonnières Madame?
-C’est exceptionnel mais tu en valais le coup. Ca reste entre nous n’est ce pas?
-Je serai muette comme une tombe...
Anny regarde un moment la détenue.
-C’est curieux, on ne dirait pas que tu es une criminelle...
-C’est parce que je ne le suis pas Madame.
Elle raconte son histoire dans le détail. Quand le récit est achevé, Anny commente:
-Il semblerait que la police n’ait pas bien fait son travail?
-Pourquoi s’embêterait elle pour une misérable latino?
-Ouais...
Elle appelle la gardienne.
-Emmenez la dans sa cellule!
La gardienne sourit laissant penser à Juanita que la directrice est coutumière du fait...
Une fois seule, Anny réfléchit. Cette Juanita peut être une opportunité. Birgit devient encombrante, elle en prend un peu trop à son aise. Et puis c’est une vraie criminelle, une cheffe de gang qui a du s a n g sur les mains alors que la latino plaide l’erreur judiciaire et la directrice en est convaincue. Par ailleurs la scène de bagarre dans la douche permet de penser qu’elle pourrait dominer la terreur blonde. Un scénario se construit dans la tête d’Anny...
Dans la cellule 124, les deux femmes tombent dans les bras l’une de l’autre. Mary est émue.
-Oh Juani, je suis si contente!
Mais après l’étreinte, elle éclate en s a n g lots.
-Mais qu’est ce que tu as? demande Juanita.
-J’ai honte ma chérie! Je t’ai laissé accuser sans intervenir...J’ai eu peur, j’ai été lâche!
-Mais non! Tu as eu une réaction normale! Ces femmes font régner la terreur. C’est elles qui sont coupables! Allez viens m’embrasser...
-Tu es vraiment un amour!
Les jours qui suivent confirment les craintes de la directrice du pénitencier. Birgit et ses lieutenantes multiplient les vexations et les humiliations vis à vis des autres détenues. Témoin de plusieurs de ces brimades, Juanita ronge son frein: elle ne tient pas à se retrouver au cachot. Une fois, quand même, elle intervient.
Ce jour là, elle fait l’inventaire dans l’entrepôt où sont rangés les objets fabriqués par les prisonnières. Elle est avec Véra, une des séides de Birgit et de Mary. La petite brune ne cesse de provoquer la jeune lesbienne, se moquant d’elle, la bousculant à plusieurs reprises. A un moment, Juanita intervient et lance à Véra:
-Tu vas lui foutre la paix oui?
-Te mêles pas de ça la latino!
Elle balance un coup de poing au visage de Juanita. La bagarre commence mais elle sera de courte durée. Sure de ne pas être repérée par une gardienne, Juanita donne toute sa mesure et même si son adversaire est un vrai pitbull, elle se retrouve vite au sol et abandonne...
Le lendemain, une gardienne vient chercher la latino.
-Tu es convoquée chez la directrice!
Mary s’inquiète:
-m e r d e , on a su que tu t’étais fightée avec Véra!
-Bah ou alors la dirlo a encore envie de passer un bon moment...
Dans le bureau de la directrice, se trouvent, en plus de celle-ci, deux hommes d’environ cinquante ans, plutôt séduisants, habillés de manière bourgeoise. Ils sont assis côte à côte sur le canapé. Une fois la gardienne sortie, Anny fait les présentations:
-Juanita, je te présente Andrew Jameson, sénateur de l’Etat et Douglas Epstein, juge du comté. Ce sont deux très bons amis. Nous avons fait notre droit ensemble...
-Enchantée Messieurs! répond la prisonnière.
Les deux hommes ne répondent pas mais détaillent la jeune femme du regard. La directrice reprend:
-J’ai parlé de toi à ces messieurs et ton cas les a intéressés...
Juanita se demande si c’est l’erreur judiciaire ou son tempérament sexuel qui a intéressé les deux notables...
-Grâce à leur appui, tu pourrais obtenir une remise de peine...
Juanita a bien remarqué l’emploi du conditionnel. Il faudra qu’elle soit "gentille" avec les deux hommes. Ca se confirme tout de suite puisque Anny, placée derrière elle, soulève son tee-shirt dévoilant sa poitrine nue. Elle se laisse faire...
-Remise de peine qui pourrait être importante. Mes amis sont très sensibles à la beauté féminine...
Maintenant, c’est le short que la directrice descend sous le regard lubrique des deux hommes. Ensuite elle va verrouiller la porte. Pendant ce temps, les deux hommes sortent leur bite. Leurs engins sont de taille correcte sans plus mais ils sont bien raides. Privée de sexe masculin depuis pas mal de semaines, la détenue commence à mouiller.
Anny vient s’installer entre ses deux amis prenant une bite dans chaque main.
-Approche petite cochonne! invite la rousse.
A genoux devant les deux mâles, Juanita passe d’une bite à l’autre, se délectant des deux membres turgescents.
-Mhh approuve le sénateur, tu nous avais pas menti Anny, voilà une bonne salope!
De fait, la belle brune est très excitée et prodigue cette double fellation avec beaucoup d’application sous les yeux d’Anny qui s’est levée entre deux.
Juanita reprend son souffle après plusieurs minutes de pompage non stop. Elle branle les deux bites en même temps en les regardant à tour de rôle, satisfaite du résultat obtenu. Le juge propose:
-Et si tu venais t’asseoir sur ma pine petite délurée?
La "délurée" n’attendait que ça et s’empale sur le pieu bien raide. Elle va et vient dessus avec fougue. Le sénateur lui caresse le cul et lui doigte l’anus.
-Mhh voilà un cul qui semble bien accueillant!
-Il n’attend que ta bite cher sénateur! ricane la rousse.
Celle-ci, la jupe retroussée, se branle la chatte sans vergogne. Le sénateur se place derrière Juanita qui cesse son va et vient pour permettre la pénétration de l’engin. Celui-ci entre facilement dans la rondelle dilatée. Juanita est comblée.
-Oh oui putain que c’est bon! Défoncez moi avec vos grosses pines Messieurs!!
Ces Messieurs ne se font pas prier et s’activent dans les deux orifices de la belle brune. La directrice a sorti ses nichons et les donne à téter à Juanita. Après quelques minutes de chevauchée, le trio se désunit pour se reformer autrement. Juanita pivote de 180°, s’empale sur le juge par le cul et reçoit le sexe du sénateur dans la chatte. Anny apprécie le spectacle en s’enfilant un gode dans la chatte.
Sans être des étalons, les deux hommes procurent beaucoup de plaisir à la belle brune qui a été si longtemps privée. Elle finit par jouir à grand bruit:
-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!! Putain que c’est bon!!!! Ah Messieurs quel pied!
-Giclez lui sur la gueule les gars! s’écrie la directrice qui a elle même joui toute seule.
A genoux, Juanita branle les deux bites jusqu’à obtenir deux éjaculations qu’elle reçoit sur le visage et sur les seins. Anny vient la nettoyer avec sa langue...
Quelques minutes plus tard, ces messieurs sont rhabillés et ont retrouvé toute leur dignité de notable. Le juge rompt le silence:
-Je pense que cette jeune femme mérite effectivement une réduction de peine!
-Par ailleurs, enchérit le sénateur, Madame la directrice nous a parlé de votre histoire. Je pense que nous pourrions œuvrer pour la réouverture de l’enquête...
-Oh merci Messieurs! et merci Madame la directrice!
-C’est normal ma petite! répond Anny. En échange, vous pourriez nous rendre un service.
-Dites Madame...
-Eh bien, je pense que Birgit est allée beaucoup trop loin...
-C’est bien mon avis! Mais je ne vois pas bien le rapport avec le fait de vous rendre service.
-Eh bien, j’aimerais que cette salope reçoive une bonne correction de la part d’une autre détenue...
-Moi je suppose?
-Bien sûr! Nous témoignerions qu’elle t’a agressée sauvagement et nous pourrions ainsi obtenir un transfert disciplinaire dans un autre établissement. Accepte-tu?
-Mais rien ne pourrait me faire plus plaisir Madame!
De retour dans sa cellule, Juanita raconte l’histoire à Mary. Celle-ci s’inquiète:
-Tu ne devrais pas! Birgit est vraiment redoutable!
-Bah! J’ai humilié ses deux acolytes...
-Elle est beaucoup plus forte qu’elles et beaucoup plus vicieuse aussi. Franchement tu devrais renoncer...
-Trop tard, j’ai donné ma parole...Et puis, le pénitencier doit être débarrassé de cette ordure!
-Bon...et ça va se passer où et quand?
-Je ne sais pas, la directrice m’a dit de me tenir prête...
Deux jours plus tard, est annoncé un grand déménagement. Les filles vont changer de cellule le temps de désinsectiser. Au rez-de-chaussée, se trouvent des geôles à barreaux dans lesquelles vont s’entasser les filles.
-Déjà? s’étonne Mary. Ca fait pas trois mois que ça a été fait!
-Mhh c’est peut-être que le moment est venu...
-Oh m e r d e ! Il est encore temps de renoncer tu sais?
-Pas question! Je suis prête...
Une gardienne emmène les deux femmes. Mary est placée dans une cellule avec plusieurs autres filles. Juanita est dans la cellule suivante dans laquelle se trouve une seule femme: Birgit!
"C’est bien ça...Cette fois-ci on y est!" se dit la latino. Elle sent l’adrénaline monter...
La grille se referme sur les deux femmes. Birgit arbore un sourire mauvais.
-Mais qui voilà! Quelle bonne surprise! Juanita!
-Le plaisir est partagé tu sais!
-Hé hé!
Dans le bureau de la directrice, il y a du monde. Il y a là le sénateur et le juge, accompagnés de leur secrétaire. Deux bimbos peu farouches. Sally, une belle blondinette avec le sénateur et Zoé, une brune bien foutue pour le juge. Chacune d’elle semble être un peu plus que la secrétaire pour son patron. Un grand écran a été installé. Les deux hommes sont des grands amateurs de combats féminins tout comme Anny d’ailleurs. Quoi de mieux qu’un pénitencier où les bagarres entre femmes sont fréquentes pour fournir des images croustillantes? Et aujourd’hui c’est gala: la terreur Birgit aura enfin une adversaire à la hauteur...
Les gardiennes ont maintenant quitté le couloir et fermé la porte de métal. Birgit se lève de sa paillasse.
-Ha Juanita...Tu m’étais sympathique tu sais...Et puis tu as tout gâché!
-Oh vraiment?
-Ben oui, tu t’es attaquée à mes deux copines. Je peux pas laisser passer ça...
-Confidence pour confidence, moi aussi il y a des choses que je ne peux pas laisser passer!
-Ah oui? Et quoi donc?
-Eh bien, ton faux témoignage qui m’a valu un séjour au cachot. Et puis surtout, j’aime pas tes manières brutales, ta façon de dominer les filles...
-Ca tombe bien en tout cas! Nous voilà toutes les deux, on va pouvoir s’expliquer à notre aise. Pas de gardienne pour nous interrompre...
Autour, dans les autres cellules, les filles assistent à la discussion sans mot dire. Elles vont assister à une bagarre terrible.
Dans le bureau, l’attention est maximale aussi. Le juge et le sénateur ont le pantalon baissé. Zoé et Sally branle doucement leur queue. On toque à la porte du bureau. Anny ouvre. Un beau black bien bâti en jean et tee-shirt se présente.
-C’est l’agence "Etalon 24/24" qui m’envoie Madame, je m’appelle Bob.
-Super! Rentre Bob!
S’adressant à ses deux amis:
-Ben oui les gars! Moi aussi j’ai mon "secrétaire"...
Dans la cellule, Juanita répond:
-Tu as raison, il est plus le temps qu’on ait cette..."discussion"!
-Oui il faut toujours régler les litiges.
-Et quelles règles vois-tu pour cette..."explication"?
-Aucune! Tout est permis. La dernière debout a gagné. Ca te va?
-Parfaitement...
-Simplement, j’aimerais qu’on soit à poil. Des fois qu’il y aurait une lime à ongle ou une aiguille planquée dans un ourlet. Je ne te fais pas entièrement confiance...
-J’allais te le proposer...Moi je ne te fais pas du tout confiance!
Les deux femmes se débarrassent de leur short et de leur tee-shirt qu’elles jettent au delà des grilles. Les voilà nues, face à face. Birgit sourit.
-Mhh t’es bien foutue dis donc!
-Je te retourne le compliment! Mais on n’est pas là pour s’envoyer des fleurs si?
-Tu as raison!
Elle envoie un crochet du gauche au visage de la brune.
-Ca y est ça commence! commente le sénateur.
-Elles sont superbes en tout cas! apprécie le juge.
Tous les deux se font pomper par les deux secrétaires entièrement à poil. Bob aussi a ôté ses vêtements et arbore un sexe bien bandé pour le plus grand plaisir de la directrice.
-Putain ce gourdin! Viens baise-moi!
Elle retrousse sa jupe et s’assied, les jambes écartées. Le black vient la pénétrer dans la position du missionnaire.
Dans la cellule, Juanita frappée durement d’entrée de jeu, réplique tout aussi durement par un uppercut au menton. Chacune des deux apprécie la "puissance de feu" de l’adversaire. Elles se mettent en garde, les poings à hauteur du visage. Pendant plusieurs minutes, elles se balancent des coups v i o l ents.
Autour, les autres détenues retiennent leur souffle. La plupart aimerait une défaite de la blonde mais n’ose y croire.
Un premier tournant dans ce combat: Birgit troue la garde de sa rivale et place un une-deux au visage. La latino pose un genou à terre. La blonde pousse un petit cri de joie et place une clé de cou. Elle serre, Juanita étouffe.
-Abandonne salope et je te relâche!
-Vas te faire foutre sale garce!
Birgit serre encore. Le visage de Juanita devient tout rouge...
Dans la cellule voisine, Cassia et Véra exultent:
-Vas-y Birgit, tue là cette chienne!
Juanita tente de se débattre. Son adversaire maintient la pression. Birgit est sure d’elle.
-Tu as perdu, tu devrais l’admettre...
Mais brusquement elle crie et relâche son étreinte. Elle se tient la chatte à deux mains, pliée en deux. Juanita est parvenue à se libérer une main et, trouvant l’entrejambe de son adversaire a serré de toutes ses f o r c e s. Juanita reprend son souffle. Les deux combattantes portent les marques du combat. Mais il n’est pas question pour elles de s’arrêter là. Le pugilat reprend. Le combat a changé d’âme. Birgit qui croyait avoir gagné s’énerve et tape à plusieurs reprises dans le vide.
Au contraire, Juanita tape fort et juste. Elle prend le dessus et, à la faveur d’un superbe crochet du gauche envoie son adversaire au sol. Celle-ci est groggy.
Tout en se faisant baiser par l’escort boy, la directrice ordonne par téléphone que les gardiennes interviennent pour faire cesser la bagarre. Ces dernières arrivent à la cellule avec une civière. Juanita reprend son souffle assise sur la paillasse devant le corps inanimé de son adversaire. Les gardiennes emmènent les deux détenues vers l’infirmerie.
Dans le bureau de la directrice, le sénateur et le juge, fortement émoustillés par le spectacle ont éjaculé dans la bouche de leur secrétaire respective. Les deux jeunes femmes restent un peu sur leur faim et lorgnent sur Bob qui a fait jouir la directrice à plusieurs reprises. Celle-ci, épuisée vient rejoindre ses deux amis pour observer le spectacle.
-Vos petites pouliches vont s’occuper de mon étalon je pense...
Beau gosse
QUELQUES LIENS
LIRE des histoires érotiques de lesbiennes
VOIR plus de 2000 photos SANS PUB de lesbiennes
VOIR plus de 600 vidéos SANS PUB de lesbiennes
SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !
Oui superbe histoire.💖💖💖💖 | |
Ah, ces prisons de femmes... | |
Très bonne histoire | |
Merci pour ce récit! |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)